Calçots, deuxième !

Vous vous souvenez, il y a plus ou moins un an, je vous avais parlé de ces oignons frais cuits sur de gros barbecues? Si vous ne vous en souvenez pas, c'est .
Comme on n'apprend jamais de ses erreurs, dimanche dernier, après une petite balade dans la montagne, il a été décidé de faire des calçots à la maison, au barbecue. Première erreur, y'avait pu de charbon à la maison. Découverte à 23h la samedi, cette absence a été comblée par une bonne brassée de bois, à l'ancienne.

Fallait faire la sauce, aussi, la sauce des calçots, celle qui est super bonne aux noisettes et amandes, un truc de ouf ! Samedi, j'm'y suis mise, hophop, aux fourneaux. Je lis la recette, ok, tomate et ail et ñora (des petits poivrons secs) au four pour que ça cuise, d'accord. 10 minutes passent, je relis la recette. "Attention, les ñoras brûlent très vite". J'ouvre la porte du four, et effectivement, c'est tout crâmé. Bon, on disait qu'on allait gratter et faire comme si de rien. Je referme la porte du four pour les tomates et l'aïl. J'y reviens 10 minutes plus tard, pour voir si c'est cuit. J'approche dangeureusmeent mon visage du four brûlant pour bien regarder, et là, pof.
Paf.
Le plat en verre qui me pète à la gueule.

Bon, pas grave, on gratte le verre, on fait comme si de rien n'était, on referme la porte du four. Enfin, j'essaie, et là, elle me reste dans la main, toute brûlante qu'elle était. AAAAAAAAH ! Panique ! Je la remets tant bien que mal en équilibre pour attendre qu'elle ne refroidisse avant de jouer à Mc Giver et la recaler dans ses attaches (vive Youtube et les gens qui s'ennuient tellement qu'ils postent des films expliquant comment raccrocher une porte de four).
La sauce n'a pas fait schcrounch schcrounch en mangeant, j'ai tiré les leçons du passé et retiré la partie toute noire des calçots avant de les manger (ça parait logique, ça ne l'était pas pour moi l'année dernière), et ça a été un déééélice !

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