Après la Rioja, la Navarre, et le Pays Basque... Asturies et Cantabrie !
Située à cheval sur plusieurs communautés, la chaine de montagne des Picos de Europa est IMPRESSIONNANTE ! Ou du moins vue de loin elle le parait. Toute la semaine la météo a été méga super sympa, nous offrant des cieux bleus bleus bleus :
Lorsqu'est venu le jour de grimper faire une bonne randonnée de bonne heure avec de bonnes godasses et une bonne météo, et ben voilà le ciel qui surplombait le téléphérique à 1 bras le trajet :
Mouais. Ben on va garder nos bras alors, ça sera pour un autre voyage, la rando à 2000 mètres !
Comme la journée était encore longue, on a décidé de grimper voir ce que le guide présentait comme "la grosse pierre de Peña Tú, idole néolithique". Voiture garée, et c'est parti pour la montée. À peine passé le premier virage, une voiture nous a barré la route. Le conducteur, dehors, nous ignore, se remet au volant, et commence l'ascension de ce chemin forestier pas trop trop praticable. Ok. On continue de monter, et au loin, d'un coup, d'étranges lumières attirent notre attention. Des reflets dorés percent à travers l'épais feuillage. L'idole ? Ou le mec d'en bas déguisé en homme de Neandertal rendant hommage à l'idole et nous attendant pour pratiquer le sacrifice rituel ? Rien de tout ça, juste la voiture garée qui reflétait les quelques rayons du soleil traversant la couche de nuage.
On continue de grimper, le chemin est de plus en plus accidenté. Soudain, au sol, sur une pierre plate, l'empreinte d'une chaussure de marche, fraiche, très fraiche. L'Angela Lansbury en moins se transforme en méga parano, et je commence à paniquer un ptit peu. La panique s'intensifie quand finalement on arrive devant l'énorme rocher qu'est Peña Tú, et que le mec d'en bas nous attend, debout dans l'enceinte grillagée du site. Déglutition difficile.
On s'approche, le mec nous regarde, et soudain... SOUDAIN...
...
Il sort sa carte de guide officiel d'Asturies. Nous dit qu'il attend toute la journée en bas que quelqu'un daigne monter le kilomètre et quelque pour admirer l'idole, que personne n'a montré le bout de son nez aujourd'hui et qu'on a de la chance, il allait partir.
Bref, peur (comment ça IRRATIONELLE?), mais ça valait le coup !
Située à cheval sur plusieurs communautés, la chaine de montagne des Picos de Europa est IMPRESSIONNANTE ! Ou du moins vue de loin elle le parait. Toute la semaine la météo a été méga super sympa, nous offrant des cieux bleus bleus bleus :
Lorsqu'est venu le jour de grimper faire une bonne randonnée de bonne heure avec de bonnes godasses et une bonne météo, et ben voilà le ciel qui surplombait le téléphérique à 1 bras le trajet :
Mouais. Ben on va garder nos bras alors, ça sera pour un autre voyage, la rando à 2000 mètres !
Comme la journée était encore longue, on a décidé de grimper voir ce que le guide présentait comme "la grosse pierre de Peña Tú, idole néolithique". Voiture garée, et c'est parti pour la montée. À peine passé le premier virage, une voiture nous a barré la route. Le conducteur, dehors, nous ignore, se remet au volant, et commence l'ascension de ce chemin forestier pas trop trop praticable. Ok. On continue de monter, et au loin, d'un coup, d'étranges lumières attirent notre attention. Des reflets dorés percent à travers l'épais feuillage. L'idole ? Ou le mec d'en bas déguisé en homme de Neandertal rendant hommage à l'idole et nous attendant pour pratiquer le sacrifice rituel ? Rien de tout ça, juste la voiture garée qui reflétait les quelques rayons du soleil traversant la couche de nuage.
On continue de grimper, le chemin est de plus en plus accidenté. Soudain, au sol, sur une pierre plate, l'empreinte d'une chaussure de marche, fraiche, très fraiche. L'Angela Lansbury en moins se transforme en méga parano, et je commence à paniquer un ptit peu. La panique s'intensifie quand finalement on arrive devant l'énorme rocher qu'est Peña Tú, et que le mec d'en bas nous attend, debout dans l'enceinte grillagée du site. Déglutition difficile.
On s'approche, le mec nous regarde, et soudain... SOUDAIN...
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Il sort sa carte de guide officiel d'Asturies. Nous dit qu'il attend toute la journée en bas que quelqu'un daigne monter le kilomètre et quelque pour admirer l'idole, que personne n'a montré le bout de son nez aujourd'hui et qu'on a de la chance, il allait partir.
Bref, peur (comment ça IRRATIONELLE?), mais ça valait le coup !
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