Le week-end dernier, c'était la fête des Indiens à Begur ! Des cow-boys partout, des flèches, des tipis...
Ah.
Non.
On me dit que c'était pas ça du tout.
On appelle "indiens" les catalans qui, partis aux Antilles (principalement à Cuba) faire fortune au cours du XIXème, revinrent dans leur village d'origine les poches sonnantes et trébuchantes. Begur fait partie de ces villages dont l'architecture a été fortement marquée par le retour des "Americains", et les commémore chaque année par une fête qui sent le mojito à tous les coins de rue.
Sans rire, dans toutes les ruelles, sur toutes les places, dans les entrées des maisons, partout, des stands de mojitos étaient installés. MAIS POURQUOI ? Parce que principalement, après avoir ouvert des épiceries un peu partout (on les appelait d'ailleurs "le catalan du coin", sans blague, même que c'est vrai, regardez la photo suivante :
"A Cuba on appelait les épiceries 'le catalan du coin'". C'est pas moi qui le dit, c'est le panneau explicatif), après avoir ouvert leurs boutiques, donc, les "Indiens" ont investi dans des activités fort lucratives et peu regardantes : alcool, tabac, commerce d'esclave... De bons fonds d'investissement comme on n'en fait plus !
Ah.
Non.
On me dit que c'était pas ça du tout.
On appelle "indiens" les catalans qui, partis aux Antilles (principalement à Cuba) faire fortune au cours du XIXème, revinrent dans leur village d'origine les poches sonnantes et trébuchantes. Begur fait partie de ces villages dont l'architecture a été fortement marquée par le retour des "Americains", et les commémore chaque année par une fête qui sent le mojito à tous les coins de rue.
Sans rire, dans toutes les ruelles, sur toutes les places, dans les entrées des maisons, partout, des stands de mojitos étaient installés. MAIS POURQUOI ? Parce que principalement, après avoir ouvert des épiceries un peu partout (on les appelait d'ailleurs "le catalan du coin", sans blague, même que c'est vrai, regardez la photo suivante :
"A Cuba on appelait les épiceries 'le catalan du coin'". C'est pas moi qui le dit, c'est le panneau explicatif), après avoir ouvert leurs boutiques, donc, les "Indiens" ont investi dans des activités fort lucratives et peu regardantes : alcool, tabac, commerce d'esclave... De bons fonds d'investissement comme on n'en fait plus !
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