Je change d'appart cette semaine (en principe, quand j'aurais les clefs je vous raconterai l'épopée que ça a été...), il est donc grand temps d'honorer mes chers voisins.
D'abord, y'a les voisins du dessus. Leurs enfants éléphants qui courent partout, jouent à la balle à l'heure de la sieste. Leurs cours de flamenco à pas d'heure (si c'est pas ça je ne sais pas ce qu'ils font pour faire autant de bordel...)
Suivent les voisins du 3ème. Leur appart est en travaux depuis 6 mois. 6 mois à taper sur les tuyaux, soulever de la poussière et faire trembler les murs.
Ensuite viennent les voisins du cinquième. Les voisins direct, qui reniflent comme des porcs avant de cracher (dans les toilettes j'espère) et qui ont de gros problèmes digestifs.
La télé mise à font jusqu'à 2h du matin reste anonyme, mais n'empêche pas d'entendre en mode Mariah Carey l'hymne américain ricocher sur les parois du puits de lumière à minuit, suivi par un "non mais tu vas pas baisser ta télé!!!" d'un autre voisin excédé.
Enfin, et là, c'est en général, ceux qui profitent du samedi ou dimanche matin, tôt, pour se parler entre les étages à travers le puits de lumière. "ABUELOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO" (Papy), "ABUELOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO", "ABUELOOOOOOOOOOOOOOOO, ESTAS DURMIENDOOOOOOOOOOOOOOO?" (papy tu dors?)... Une fois le papy réveillé, et vas-y que ça papote en hurlant à travers les étages. Pour terminer la liste, ceux qui comme les précédents hurlent mais au téléphone, comme si ils ne pouvaient pas aller plus loin que le patio intérieur pour papoter, patio où, je vous rappelle, donne la fenêtre de ma chambre. Patio où donnent toutes les cuisines. C'est donc dans un mélange d'odeurs de bouffe en tout genre, de bruitages de film d'action et de hurlements des voisins que je m'endors tous les soirs. Aaaaah, ça va me manquer...!
D'abord, y'a les voisins du dessus. Leurs enfants éléphants qui courent partout, jouent à la balle à l'heure de la sieste. Leurs cours de flamenco à pas d'heure (si c'est pas ça je ne sais pas ce qu'ils font pour faire autant de bordel...)
Suivent les voisins du 3ème. Leur appart est en travaux depuis 6 mois. 6 mois à taper sur les tuyaux, soulever de la poussière et faire trembler les murs.
Ensuite viennent les voisins du cinquième. Les voisins direct, qui reniflent comme des porcs avant de cracher (dans les toilettes j'espère) et qui ont de gros problèmes digestifs.
La télé mise à font jusqu'à 2h du matin reste anonyme, mais n'empêche pas d'entendre en mode Mariah Carey l'hymne américain ricocher sur les parois du puits de lumière à minuit, suivi par un "non mais tu vas pas baisser ta télé!!!" d'un autre voisin excédé.
Enfin, et là, c'est en général, ceux qui profitent du samedi ou dimanche matin, tôt, pour se parler entre les étages à travers le puits de lumière. "ABUELOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO" (Papy), "ABUELOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO", "ABUELOOOOOOOOOOOOOOOO, ESTAS DURMIENDOOOOOOOOOOOOOOO?" (papy tu dors?)... Une fois le papy réveillé, et vas-y que ça papote en hurlant à travers les étages. Pour terminer la liste, ceux qui comme les précédents hurlent mais au téléphone, comme si ils ne pouvaient pas aller plus loin que le patio intérieur pour papoter, patio où, je vous rappelle, donne la fenêtre de ma chambre. Patio où donnent toutes les cuisines. C'est donc dans un mélange d'odeurs de bouffe en tout genre, de bruitages de film d'action et de hurlements des voisins que je m'endors tous les soirs. Aaaaah, ça va me manquer...!
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