Transèquia, gla gla gla

Dimanche, réveil en fanfare à 6h30. J'ai pas dit 18h30, mais bien 6h30. MAIS POURQUOI DONC ??? La 26ème édition de la Transèquia avait lieu entre Balsareny et Manresa, 26 kilomètres à suivre le chemin d'un canal d'irrigation (ou Sèquia en Catalan, d'où le nom de la marche).

Après une heure de queue dans le froid (ATTENTION DISGRESSION : il faut arrêter de croire qu'il fait toujours beau et chaud ici. Hier (lundi), la neige est tombée sur Barcelone. ET PAS QU'UN PEU ! Ça a été la tempête sur la Catalogne, des flocons ENORMES qui au bout d'un moment ont décidé qu'ils étaient bien sur le sol, et sont donc restés là, bloquant les trains, les routes, coupant l'électricité et les réseaux mobiles. Il m'a fallu 3 heures pour rentrer à la maison), nous avons enfin pu monter dans l'un des inombrables bus qui emmenaient les fous (nombreux en ce dimanche matin) direction Balsareny, pour commencer la longue maaaaarche.


L'intérêt d'être une marche organisée réside dans la présence, à intervales réguliers, de poste de ravitaillement. Au départ, on a eu droit à la butifarra traditionnelle (une grosse saucisse dans du pain plein d'huile d'olive, miam miam), puis fruit, biscuit, jus de fruit, eau...

On est arrivés TOUT JUSTE au final pour pouvoir passer sous la porte rouge avant qu'ils ne la dégonflent. Perfect timing de flémard !

Dans un mois, si je trouve de la motivation quelque part, je me lancerai dans celle de Lloret de Mar, moins longue, mais autrement plus compliquée. Suivre un canal, c'est cool, c'est tout plat, ça fatigue pas trop. A Lloret, c'est autre chose. Le circuit suit les ermites perchées sur les montagnes regardant la mer. Ça va être rude !!!

Commentaires

Dominique a dit…
butifarra...MIAM!!!!!!Mais c'est bien ,26 km!!!!!!dans le froid!!!!!