En Espagne, c'est 40 heures qu'il faut bosser par semaine. Enfin, ici, 39h, parce qu'ils sont gentils. En fonction de l'heure à laquelle j'arrive le matin, je définis mon heure de sortie. Si j'arrive à 8h30, je sors à 17h30. Par contre, si j'explose mon réveil quand il sonne, que la station de bicing à côté de chez moi est vide et que je vois les portes de mon train se fermer devant moi, là, je pars à 18h30. Mouais... C'est ce qui m'est arrivé hier.
Je mets environ 45 minutes pour arriver ici, en tant normal. Hier soir, comme je suis partie à 18h20 (cf ce que je viens de raconter...), j'avais 10 minutes à attendre comme une boubourse dans le froid saisissant, que le bus du polygone industriel m'emmène à la gare. Je prends mon courage à deux mains, et je décide de marcher un peu et de choper le bus un poil plus loin, histoire de ne pas me transformer en glaçon. Froid froid !
Hop hop je me balade dans ce MA-GNI-FIQUE (ça faisait longtemps, tiens !) polygone industriel, sous les lampadaires froids, avec deux ou trois mecs louches qui fument leur clope à la sortie des entrepôts. Hop hop je hâte le pas, et j'arrive à l'arrêt du bus. Peu après, je le vois arriver au loin, synonyme de chaleeeeeeeur, et d'une arrivée rapide à la maison. Couragement, je tends le bras vers le ciel gelé pour attirer son attention. Il ne manquait plus que le "Hep chauffeur". Et bien peut être eut-il fallu que je le lui hurle et que je saute au milieu de la route, parce que là, le bus, il m'est passé devant. Je suis restée comme une conne, à souffler de la vapeur d'énervement. Et de panique, aussi, un peu, parce que je ne connais pas trop trop cette zone, et encore moins le chemin à suivre pour arriver à la gare.
Au final, je me suis tapée 40 minutes de marche, à tourner à moitié en rond pour rentrer, ce qui me donne une journée de boulot (je compte de porte à porte, ouais, le transport, c'est compris) de 11h. Et je suis pas contente ! PAS CONTENTE ! PAS CONTENTE !
Je mets environ 45 minutes pour arriver ici, en tant normal. Hier soir, comme je suis partie à 18h20 (cf ce que je viens de raconter...), j'avais 10 minutes à attendre comme une boubourse dans le froid saisissant, que le bus du polygone industriel m'emmène à la gare. Je prends mon courage à deux mains, et je décide de marcher un peu et de choper le bus un poil plus loin, histoire de ne pas me transformer en glaçon. Froid froid !
Hop hop je me balade dans ce MA-GNI-FIQUE (ça faisait longtemps, tiens !) polygone industriel, sous les lampadaires froids, avec deux ou trois mecs louches qui fument leur clope à la sortie des entrepôts. Hop hop je hâte le pas, et j'arrive à l'arrêt du bus. Peu après, je le vois arriver au loin, synonyme de chaleeeeeeeur, et d'une arrivée rapide à la maison. Couragement, je tends le bras vers le ciel gelé pour attirer son attention. Il ne manquait plus que le "Hep chauffeur". Et bien peut être eut-il fallu que je le lui hurle et que je saute au milieu de la route, parce que là, le bus, il m'est passé devant. Je suis restée comme une conne, à souffler de la vapeur d'énervement. Et de panique, aussi, un peu, parce que je ne connais pas trop trop cette zone, et encore moins le chemin à suivre pour arriver à la gare.
Au final, je me suis tapée 40 minutes de marche, à tourner à moitié en rond pour rentrer, ce qui me donne une journée de boulot (je compte de porte à porte, ouais, le transport, c'est compris) de 11h. Et je suis pas contente ! PAS CONTENTE ! PAS CONTENTE !
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