J'ai mis nature entre parenthèses, vous allez comprendre assez vite. Hier samedi, jour de la balade exterminatrice de graisse emmagasinée pendant l'hiver. Heu, l'été. Heu... Enfin bref. Direction le RER (ou son équivalent catalan), qui nous dépose dans la banlieue de Barcelone. L'idée était de marcher de là jusqu'au Tibidabo, l'une des collines qui surplombent Barcelone, avec tout au long du chemin une vue imprenable sur Barcelone, les Pyrénées et les autres chaines de montagne environnante. Comme départ de balade, on a déjà vu mieux.
Vraie banlieue comme il en a des milliers, qu'on tente de désenclaver un peu de nos jours par l'installation d'ascenseurs pour grimper les interminables pentes sur lesquelles ont été construites les barres d'immeuble. Pas grave, on débute la promenade, vers ce qui nous semble être la bonne direction. Après les barres d'immeuble, les anciens quartiers de constructions spontanées. Les immigrants, venus principalement du sud de l'Espagne, ont dans les années 50 profité du terrain en pente, et donc non construit, pour s'installer et bâtir leurs propres maisons, sans permis ni autorisation. ça donne une urbanisation chaotique, avec escaliers dans tous les sens, des rues en pente à 15 degrés (minimum), des maisons à étages qui n'en finissent plus (on aménage le grenier, construit un nouveau grenier par dessus, l'aménage, construit un nouveau par dessus...).
Au final, on n'a jamais trouvé le chemin du Tibidabo, mais on a fait la descente à pied vers ma maison, descente surement empruntée en général par les VTT vue la pente. Erreur fatale, résultant par, après 5 heures de marche, un mal de dos bien dégueu. Mais j'suis contente, on a vu un serpent (argh, il était groooooooooooooos !) et un écureuil (j'ai pensé à toi, Marina !), donc la partie nature a été remplie :) Et en prime, de superbes vues sur Barcelone, un peu brouillées par la pollution et la brume, mais impressionnantes quand même !
Vraie banlieue comme il en a des milliers, qu'on tente de désenclaver un peu de nos jours par l'installation d'ascenseurs pour grimper les interminables pentes sur lesquelles ont été construites les barres d'immeuble. Pas grave, on débute la promenade, vers ce qui nous semble être la bonne direction. Après les barres d'immeuble, les anciens quartiers de constructions spontanées. Les immigrants, venus principalement du sud de l'Espagne, ont dans les années 50 profité du terrain en pente, et donc non construit, pour s'installer et bâtir leurs propres maisons, sans permis ni autorisation. ça donne une urbanisation chaotique, avec escaliers dans tous les sens, des rues en pente à 15 degrés (minimum), des maisons à étages qui n'en finissent plus (on aménage le grenier, construit un nouveau grenier par dessus, l'aménage, construit un nouveau par dessus...).
Au final, on n'a jamais trouvé le chemin du Tibidabo, mais on a fait la descente à pied vers ma maison, descente surement empruntée en général par les VTT vue la pente. Erreur fatale, résultant par, après 5 heures de marche, un mal de dos bien dégueu. Mais j'suis contente, on a vu un serpent (argh, il était groooooooooooooos !) et un écureuil (j'ai pensé à toi, Marina !), donc la partie nature a été remplie :) Et en prime, de superbes vues sur Barcelone, un peu brouillées par la pollution et la brume, mais impressionnantes quand même !
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