A y'est, je suis arrivée à Girone, où je vais passer ce mois d'août à intensifier ma recherche de boulot et d'appart sur Barcelone. Yihaaaaaaaaaaa !
Ce matin, grand moment de stupidité lorsque, une fois la voiture chargée à ras bord, je me suis rendue compte que ouais, effectivement, on pouvait pu bouger là dedans, et encore moins le levier de vitesse. On sort, on réorganise, et hop hop ! Merci à Vaness et à Willburette pour leur aide précieuse !
Au bout d'une dizaine de km, je me tourne laconiquement vers la radio, et là, oh brin (ou ô brin, selon le degré d'intimité), la façade ! Je l'avais jeté sous le siège passager avant la veille au soir. Par dessus, 18 tonnes d'affaires incrustées les unes dans les autres, pas moyen d'y accéder à moins de mettre en péril l'équilibre de la montagne.
700 km en silence.
Heureusement qu'une petite brise soufflait dans les plaines et plateaux interminables du centre de l'Espagne. Ah, nan, en fait pas trop, 35 degrés minimum pendant tout le trajet (je coooooooooooolle). Et pour couronner le tout (sinon, ça serait pas marrant), à 150 km de Madrid, une voiture de la Guardia Civil me fait signe de la suivre. Vos papiers, Mademoiselle. On vous arrête parce qu'on ne peut pas voir votre plaque d'immatriculation sous votre vélo, et aussi parce que vous n'avez pas le signe homologué de présence d'un vélo. Hein? Le quoi? Apparemment, il faut accrocher à son chargement une plaque rayée blanche et rouge pour signaler "oh et on se calme la derrière j'ai un vélo". Mais si y'avait pas plus évident que mon vélo, attaché à l'arrière de la Clio qui avait toute les peines du monde à avancer sous son lourd chargement ! Ben nan, ça ne suffit pas, donc vlan, 60€ de pv pour la plaque, et... tadaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaam 150€ pour la ***** de signalisation. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!!!!!!!!
Pas grave ! Suis arrivée ! yihaaaaaaaaaaaa ! Malgré le trajet de *****, ça fait grave plaisir de tourner une nouvelle page dans le livre de mes aventures ibériques !
Ce matin, grand moment de stupidité lorsque, une fois la voiture chargée à ras bord, je me suis rendue compte que ouais, effectivement, on pouvait pu bouger là dedans, et encore moins le levier de vitesse. On sort, on réorganise, et hop hop ! Merci à Vaness et à Willburette pour leur aide précieuse !
Au bout d'une dizaine de km, je me tourne laconiquement vers la radio, et là, oh brin (ou ô brin, selon le degré d'intimité), la façade ! Je l'avais jeté sous le siège passager avant la veille au soir. Par dessus, 18 tonnes d'affaires incrustées les unes dans les autres, pas moyen d'y accéder à moins de mettre en péril l'équilibre de la montagne.
700 km en silence.
Heureusement qu'une petite brise soufflait dans les plaines et plateaux interminables du centre de l'Espagne. Ah, nan, en fait pas trop, 35 degrés minimum pendant tout le trajet (je coooooooooooolle). Et pour couronner le tout (sinon, ça serait pas marrant), à 150 km de Madrid, une voiture de la Guardia Civil me fait signe de la suivre. Vos papiers, Mademoiselle. On vous arrête parce qu'on ne peut pas voir votre plaque d'immatriculation sous votre vélo, et aussi parce que vous n'avez pas le signe homologué de présence d'un vélo. Hein? Le quoi? Apparemment, il faut accrocher à son chargement une plaque rayée blanche et rouge pour signaler "oh et on se calme la derrière j'ai un vélo". Mais si y'avait pas plus évident que mon vélo, attaché à l'arrière de la Clio qui avait toute les peines du monde à avancer sous son lourd chargement ! Ben nan, ça ne suffit pas, donc vlan, 60€ de pv pour la plaque, et... tadaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaam 150€ pour la ***** de signalisation. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!!!!!!!!
Pas grave ! Suis arrivée ! yihaaaaaaaaaaaa ! Malgré le trajet de *****, ça fait grave plaisir de tourner une nouvelle page dans le livre de mes aventures ibériques !
Commentaires