Manuela, fin d'une ère d'abondance...

Vendredi soir, après le boulot, comme presque tous les vendredis soir, nous sommes allés avec les "collègues" (dur d'appeler ça des collègues, honnêtement!) de boulot, histoire de boire un verre et d'emmerder notre barman préféré. Lorsque nous sommes arrivés, il commençait déjà à être ennervé, le pauvre Manu. Marre des vieux pervers, marre de la soeur de la gérante qui vient faire la pupute dans le bar (ce n'est donc pas un bar un pute mains plutôt un bar où la gérante a installé sa soeur comme entraineuse. Je ne sais pas laquelle des situations fait le plus peur :p), marre de se faire engueuler lorsqu'il mettait trop de tapas au gens. Excédé, donc, nous avons assisté devant nos yeux effrayés à l'auto virage de Manue du bar. Jetée de tablier (littéralement), envoi de mots doux et sortie du bar d'un air vainqueur. Peut être mieux pour lui, mais maintenant, nous n'avons plus de nid où aller nous réfugier après nous avoir fait maltraiter par notre cher ami J.E. C'est la fin d'une époque...

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