Vous le savez déjà si vous êtes des lecteurs assidus de ce blog/news letter, je porte à mon patronune estime inimaginable. Hier soir, en sortant du bureau avec Emily et Pierre, Pierre a fait le boubourse et nous a claqué la porte au nez. En soi, rien de bien emmerdant. Le problème vient du fait que je lui ai hurlé à l'oreille un beau "hijo de putaaaaaaa" (je vous laisse chercher la signification pour ceux qui ne comprendraient pas) et lui ai claqué un coup de mon gros bouquin sur l'épaule. En faisant ça, je sentis comme une gêne derrière moi. Je compris lorsque mon regard croisa celui de J.E. alors que résonnait toujours dans le couloir ma douce voix. Oups. La gêne venait des coups à rompre les côtes que me donnait Emily pour tenter de me faire taire. Trop tard.
Ce matin, j'ai continué mon autodestruction laborale. La faim me tenaillait les entrailles, j'ai donc décidé d'aller faire un tour au chinois d'à côté pour acheter des biscuits apéro de brin, de quoi survivre jusqu'au déjeuner. J.E. n'était pas encore arrivé, donc je pars en sifflotant, la la la la. Lorsque je pose ma main sur la poignée, la porte s'ouvre, et apparait J.E. Aaaaaaah! pense-je en mon for intérieur. "Oh que susto" lache-je à voix haute. Traduction, "Oh tu m'as fait peur". Hmmm. Pas de réponse ni de réacton, à ce moment là comme la veille au soir. Je crois qu'il devient catatonique!
Ce matin, j'ai continué mon autodestruction laborale. La faim me tenaillait les entrailles, j'ai donc décidé d'aller faire un tour au chinois d'à côté pour acheter des biscuits apéro de brin, de quoi survivre jusqu'au déjeuner. J.E. n'était pas encore arrivé, donc je pars en sifflotant, la la la la. Lorsque je pose ma main sur la poignée, la porte s'ouvre, et apparait J.E. Aaaaaaah! pense-je en mon for intérieur. "Oh que susto" lache-je à voix haute. Traduction, "Oh tu m'as fait peur". Hmmm. Pas de réponse ni de réacton, à ce moment là comme la veille au soir. Je crois qu'il devient catatonique!
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