Yo !
Courte New’s letter, pour cause de Convention le weekend dernier.
J’étais à Francfort pour le travail du samedi matin jusqu’au mardi soir, ai dormi presque tout le mercredi, donc pas grand chose à dire ! Jeudi soir tranquilou, je suis allée boire un verre pour l’anniversaire d’Onetti avec Álex, de visite depuis son Alicante natal dans la grande capitale !
L’Hôtel Intercontinental, c’était le retour du papier toilette plié en pointe, des petits déjeuners faramineux, des lits énormes presque pas utilisés (45h de travail en 3 jours, ça laisse peu de temps pour le sommeil), du patron sénil et des clients sympas. Entre plusieurs kilos de patisseries libanaises, 150 € de pourboire pour presque rien (non non je n’ai pas fait de choses que la morale réprime) et coktail gratis offert par les barmens “stagiaires” de l’hôtel 5 étoiles, j’ai réussi à survivre aux insultes, remarques désobligeantes et robe de soirée. Toute cette énergie dépensée ne m’a pas laissé le temps de profiter de la ville (en même temps, vous vous dites là que Francfort, ça fait pas rêver. vous auriez raison). Ce weekend était pourtant l’occasion parfaite pour visiter la ville : CAR-NA-VAL. Du boucan dans toute la ville (en plein milieu de la cérémonie d’accueil, le lundi midi, grosse fanfare à côté de l’hôtel, à coup de grosse caisse et de trompettes mal accordées, on n’entendait plus parler le bien surnommé Mr. Burns. Dommage.), et réunion d’anciens erasmus de Lille. Mon emploi du temps ne m’a malheureusement pas permis de m’échapper de ma prison dorée ne serait-ce que pour boire un verre, j’ai donc du renoncer à tous mes espoirs de lacher un peu de vapeur au milieu du stress et de la course effrenée que sont les conventions. Cruelle déception !
J’ai donc décidé, plutôt que de finir aigrie et rance comme une vieille croûte de fromage qui traine sous un lit depuis des mois à force de devoir supporter les remarques acidulées de mon supérieur hierarchique, de me remettre à chercher du boulot. J’ai donc pris mon courage à deux mains, et ai actualisé mon CV sur les sites de recherche d’emploi. Tout dépendra de la somme que je vais recevoir demain comme salaire. Si c’est ridiculement bas, je remettrais en marche la machine de guerre et repartirai à l’assaut des annonces, car pour continuer à travailler ici, ce n’est pas ni mon temps ni mes capacités qui sont à louer, mais plutôt ma patience et mon amour propre, et cela, ça mérite un bon salaire, rondidjious !
Je vous laisse sur ces mots d’amour, et vous donne rendez-vous la semaine prochaine pour de plus amples aventures !
Bisous,
La Manue
Courte New’s letter, pour cause de Convention le weekend dernier.
J’étais à Francfort pour le travail du samedi matin jusqu’au mardi soir, ai dormi presque tout le mercredi, donc pas grand chose à dire ! Jeudi soir tranquilou, je suis allée boire un verre pour l’anniversaire d’Onetti avec Álex, de visite depuis son Alicante natal dans la grande capitale !
L’Hôtel Intercontinental, c’était le retour du papier toilette plié en pointe, des petits déjeuners faramineux, des lits énormes presque pas utilisés (45h de travail en 3 jours, ça laisse peu de temps pour le sommeil), du patron sénil et des clients sympas. Entre plusieurs kilos de patisseries libanaises, 150 € de pourboire pour presque rien (non non je n’ai pas fait de choses que la morale réprime) et coktail gratis offert par les barmens “stagiaires” de l’hôtel 5 étoiles, j’ai réussi à survivre aux insultes, remarques désobligeantes et robe de soirée. Toute cette énergie dépensée ne m’a pas laissé le temps de profiter de la ville (en même temps, vous vous dites là que Francfort, ça fait pas rêver. vous auriez raison). Ce weekend était pourtant l’occasion parfaite pour visiter la ville : CAR-NA-VAL. Du boucan dans toute la ville (en plein milieu de la cérémonie d’accueil, le lundi midi, grosse fanfare à côté de l’hôtel, à coup de grosse caisse et de trompettes mal accordées, on n’entendait plus parler le bien surnommé Mr. Burns. Dommage.), et réunion d’anciens erasmus de Lille. Mon emploi du temps ne m’a malheureusement pas permis de m’échapper de ma prison dorée ne serait-ce que pour boire un verre, j’ai donc du renoncer à tous mes espoirs de lacher un peu de vapeur au milieu du stress et de la course effrenée que sont les conventions. Cruelle déception !
J’ai donc décidé, plutôt que de finir aigrie et rance comme une vieille croûte de fromage qui traine sous un lit depuis des mois à force de devoir supporter les remarques acidulées de mon supérieur hierarchique, de me remettre à chercher du boulot. J’ai donc pris mon courage à deux mains, et ai actualisé mon CV sur les sites de recherche d’emploi. Tout dépendra de la somme que je vais recevoir demain comme salaire. Si c’est ridiculement bas, je remettrais en marche la machine de guerre et repartirai à l’assaut des annonces, car pour continuer à travailler ici, ce n’est pas ni mon temps ni mes capacités qui sont à louer, mais plutôt ma patience et mon amour propre, et cela, ça mérite un bon salaire, rondidjious !
Je vous laisse sur ces mots d’amour, et vous donne rendez-vous la semaine prochaine pour de plus amples aventures !
Bisous,
La Manue
Commentaires
APRENDE EL PUTO FRANCES DE UNA PUTA VEZ COÑO!