Salut à tous!!
Dernière semaine de janvier, début de février, vivement le printemps, y’en a marre de la neige du froid de la pluie du vent!!! aaaaaaaaaah!!!! Dimanche dernier, je suis allée du côté de Zaragoza en voiture, mauvaise idée. Très très mauvaise idée... Faut savoir que Madrid est situé entre 600 et 700 mètres d’altitude, et est entourée de montagnes. Résultat, pour relier Madrid à Zaragoza, on passe par un col à 1200 mètres d’altitude. Dimanche dernier, je ne sais pas si vous avez vu les images, mais il est tombé pas mal de neige ici, moins qu’à Londres, mais quand même! Toutes les pancartes lumineuses annonçaient “pas de voyages sans chaines”. Mouahaha. Des chaines. Pour la voiture. Mouahahaha. Le col de 1200 mètres était plongé sous la neige, les champs alentours tout blancs, j’suis sûre que si j’étais sortie de la voiture, ça aurait fait chronch chronch sous mes pieds. J’ai suivi le conseil de Doris dans Nemo, j’ai continué “droit d’vant moi”, et finalement la capitale a fini par apparaître dans le lointain, brillant de mille feux sous la nuit tombante (ouais, j’ai une matinée de poète et alors????). J’ai testé de nouvelles aires d’autoroute (ptit conseil, en cas de venue à Madrid. NE PAS S’ARRÊTER SUR L’AIRE SITUÉE A 70 KM DE MADRID! mauvais choix. La cafète est désafectée, le seul commerce est un puti club (oui oui un club à putes) et le parking n’est qu’un ramassi de voitures au coffre évantré et au parbrise brisé, justement. Peur, en s’arrêtant là!), payé 2,5€ pour 100 mètres d’autoroute (trop longue, l’explication, je vous la passe) et transformé la voiture en sauna (2 fois elle s’est remplie de buée à l’intérieur sans aucune explication. je lui ai dit de ne plus recommencer, pour le moment elle m’écoute).
Le lundi matin, en garant la clio à sa petite place de parking, j’ai remarqué qu’on m’avait volé le pose vélo, vous savez, ce truc qui s’accroche derrière pour transporter des 2 roues. C’était lundi matin, j’ai pensé “bouah, du brin, m’en fous, je veux juste retourner dans mon lit...”. Le lendemain, le gardien du parking appelle mon patron pour lui dire “y’a un clio (ouais, les voitures sont des garçons ici) qui est mal garré, la grua (fourrière) va l’embarquer”. Souvenez-vous, les premiers étages de mon parking sont occupés par la fourrière. Là, je pense “mais mais non non non, je l’ai bien garée, faut arrêter maintenant!!!”. Mais dans le doute, je vais vérifier. J’arrive au -3, là où est ma voiture, et justement, elle n’est plus là. Je pense argh argh la grua, amendes, cher, plus les pv impayés, argh argh!. Et, là, au fond de ma place habituelle, je vois... l’attache vélo. Ben oui. J’avais garé ma voiture sur une des places de la fourrière, un étage au dessus... ah ah ah...
La tête dans le *** le lundi matin, j’avais purement et simplement zappé un étage du parking, et déduit de l’absence de l’attache vélo qu’on me l’avait volé. 1+1 n’équivaut pas toujours à 2 dans mon esprit embrumé!
Le jeudi soir, je suis allée rentre visite à des amis à Alcala de Henares. Tourisme nocturne dans la ville de Cervantes. Ils avaient un système bien ingénieux de vraies feignasses pour ne pas devoir descendre ouvrir la porte. Mieux que le sac plastique qui fait parachute pour les clefs, le trou dans le plancher. La rue principale est en effet composée de maison à colonnade, la plus longue d’espagne, au passage. Lorsque les visiteurs venaient toquer à la porte, les habitants leurs jetaint tout simplement les clefs depuis un trou fait dans le plafond de la colonnade. Je trouve ça magnifique :p
Dernière semaine de janvier, début de février, vivement le printemps, y’en a marre de la neige du froid de la pluie du vent!!! aaaaaaaaaah!!!! Dimanche dernier, je suis allée du côté de Zaragoza en voiture, mauvaise idée. Très très mauvaise idée... Faut savoir que Madrid est situé entre 600 et 700 mètres d’altitude, et est entourée de montagnes. Résultat, pour relier Madrid à Zaragoza, on passe par un col à 1200 mètres d’altitude. Dimanche dernier, je ne sais pas si vous avez vu les images, mais il est tombé pas mal de neige ici, moins qu’à Londres, mais quand même! Toutes les pancartes lumineuses annonçaient “pas de voyages sans chaines”. Mouahaha. Des chaines. Pour la voiture. Mouahahaha. Le col de 1200 mètres était plongé sous la neige, les champs alentours tout blancs, j’suis sûre que si j’étais sortie de la voiture, ça aurait fait chronch chronch sous mes pieds. J’ai suivi le conseil de Doris dans Nemo, j’ai continué “droit d’vant moi”, et finalement la capitale a fini par apparaître dans le lointain, brillant de mille feux sous la nuit tombante (ouais, j’ai une matinée de poète et alors????). J’ai testé de nouvelles aires d’autoroute (ptit conseil, en cas de venue à Madrid. NE PAS S’ARRÊTER SUR L’AIRE SITUÉE A 70 KM DE MADRID! mauvais choix. La cafète est désafectée, le seul commerce est un puti club (oui oui un club à putes) et le parking n’est qu’un ramassi de voitures au coffre évantré et au parbrise brisé, justement. Peur, en s’arrêtant là!), payé 2,5€ pour 100 mètres d’autoroute (trop longue, l’explication, je vous la passe) et transformé la voiture en sauna (2 fois elle s’est remplie de buée à l’intérieur sans aucune explication. je lui ai dit de ne plus recommencer, pour le moment elle m’écoute).
Le lundi matin, en garant la clio à sa petite place de parking, j’ai remarqué qu’on m’avait volé le pose vélo, vous savez, ce truc qui s’accroche derrière pour transporter des 2 roues. C’était lundi matin, j’ai pensé “bouah, du brin, m’en fous, je veux juste retourner dans mon lit...”. Le lendemain, le gardien du parking appelle mon patron pour lui dire “y’a un clio (ouais, les voitures sont des garçons ici) qui est mal garré, la grua (fourrière) va l’embarquer”. Souvenez-vous, les premiers étages de mon parking sont occupés par la fourrière. Là, je pense “mais mais non non non, je l’ai bien garée, faut arrêter maintenant!!!”. Mais dans le doute, je vais vérifier. J’arrive au -3, là où est ma voiture, et justement, elle n’est plus là. Je pense argh argh la grua, amendes, cher, plus les pv impayés, argh argh!. Et, là, au fond de ma place habituelle, je vois... l’attache vélo. Ben oui. J’avais garé ma voiture sur une des places de la fourrière, un étage au dessus... ah ah ah...
La tête dans le *** le lundi matin, j’avais purement et simplement zappé un étage du parking, et déduit de l’absence de l’attache vélo qu’on me l’avait volé. 1+1 n’équivaut pas toujours à 2 dans mon esprit embrumé!
Le jeudi soir, je suis allée rentre visite à des amis à Alcala de Henares. Tourisme nocturne dans la ville de Cervantes. Ils avaient un système bien ingénieux de vraies feignasses pour ne pas devoir descendre ouvrir la porte. Mieux que le sac plastique qui fait parachute pour les clefs, le trou dans le plancher. La rue principale est en effet composée de maison à colonnade, la plus longue d’espagne, au passage. Lorsque les visiteurs venaient toquer à la porte, les habitants leurs jetaint tout simplement les clefs depuis un trou fait dans le plafond de la colonnade. Je trouve ça magnifique :p
Semaine marquée par le fromage, aussi. Vendredi soir, dîner fromage avec mes “collègues de travail” à la maison. On s’est pété le bide à coup de Compté, Beaufort, Cantal, Chèvre, Camembert, Reblochon, Morbier (et non pas morbleu, emmanuelle) et j’en passe. Mon frigo a enfin retrouvé une odeur acceptable! On les a fini au travail mercredi midi, empuanté l’autre bureau, mouahahahaha, elles étaient contentes, les filles qui bossent là bas :p Je ris fort fort!
Mardi soir, je suis allée voir Bienvenue chez les Ch’tis. En espagnol. Oui mesdames messieurs, dans la langue de speedy gonzales! Ben honnêtement j’ai pas tout pigé :) Ils ont réussi à transférer l’accent chti sur l’espagnol, félicitations! Les biloutes et tizotes ont laissé la place à des traductions plus ou moins approximatives, restait le vindjious, tel quel, sans changement! Bon, j’étais morte de rire comme à chaque fois, et Cris, mon ancienne colo avec qui j’y suis allée, aussi. Elle est espagnole et a ri, je suppose donc que le film a réussi à passer l’examen! On était seules dans la salle, donc je ne pense pas que le nord va être envahi de touristes espagnols cet été :D
Voilà à peu près tout le résumé de ma semaine. Ah, sinon, nouveauté au travail. Il faut réclamer pour être payé. La fin du mois n’implique plus le salaire. Il faut aller quémander, suppliquer pour pouvoir avoir ses sousous. Il reste des personnes au bureau qui n’ont toujours pas reçu leur paie de janvier. Pauvres petits...
Je vous laisse sur ces paroles pas trop optimistes pour le futur et vous donne rendez-vous la semaine prochaine!
besos,
la manue
ps : pas beaucoup de photo cette semaine, oublié de recharger les batteries des appareils... argh...
pps :
merde adrien j’ai zappé de te rappeler hier, je me suis endormie comme un gros caca!
t’as vu maman je m’suis trompée en garant la voiture!
nath, rhododendron
nat, efface pas c’coup ci!
diane, DOMOOOOOOOO!!!
thomas B., cool d’avoir de tes news!!
laurie et lolo, vous vlà rajouter à ma magnifique mail list :p
papa ben ouais je prévois des resto chuis pas boubourse!
marina, courage dans le froid et aller hop au dodo, empêche toi de te lever avant 7h rondidjous!
will bure, quoi qu’tu viens pas? tu crains du boudin!
kim silvi mai maria diego conor patrick alan i’ll see you guys in 2 weeks! youhou!!!
bert, estoy taaaaan contenta que te apuntas!!!
stella, alemanita, es una pena que no puedes venir aqui... pero lo entiendo! a ver si nos vemos este verano! no dices algo cuando sepas para tu madre, vale?
carlos y ceci, buen viaje a istanbul! no olvideis traer pistachos, lukums y kebabs!!!
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